Afin de poursuivre la dynastie installée par son père, président du Gabon pendant 41 ans jusqu’à sa mort en 2009. Ali Bongo son fils a tout fait pour réussir son élection. Il a muselé toute opposition, restreint les libertés d’expression et de manifestations, et à mené une politique de répression envers ses opposants.
A u soir des élections le 31 août 2016 Ali Bongo Ondimba, le président sortant est réélu, à une très courte majorité sur son rival Jean Ping, Or, cette élection est entachée d’irrégularités électorales. Ali Bongo Ondimba, le président sortant réélu, a falsifié le résultat des votes de son fief du Haut-Ogooué.
La situation du Gabon va devenir incontrôlable. . Ces manifestations d’opposition sont violemment réprimées Elles ont fait trois morts selon le bilan officiel et au moins 100 victimes selon l’opposition. Les communications téléphoniques et internet ont été coupées, 12 000 personnes ont été arrêtées. Des cas d’exécutions sommaires, d’usage abusif de la force de torture et de disparitions ont été recensés par l’opposition et la société civile.
Pour donner le change et calmer l’opposition qui ne faiblit pas, le gouvernement gabonais a demandé à la Cour pénale internationale de procéder à une enquête concernant les violences électorales. Or c’est une procédure longue et couteuse,. Cette stratégie est surtout vue comme un moyen de diversion plutôt que de mener une véritable enquête sur les multiples violations de droits de l’homme.
Ecrivons au président de la république du Gabon. http://www.acatfrance.fr/actualite/jagis-pour-la-justice-au-gabon