Appel du mois de mars ACAT
Il continue la campagne lancée sur la Tunisie. Le retour à la démocratie ne signifie pas la fin automatique de la torture. Les pratiques tortionnaires ont la vie dure. En Tunisie, la police torturait sous Ben Ali, elle torture encore aujourd’hui. Ce pays, qui profite des progrès démocratiques, doit utiliser l’élan de ses réformes pour éradiquer le fléau de la torture. En particulier arriver à briser l’impunité dont jouissent les tortionnaires. lire la suite de l’article sur la page ACAT